A la lumière de son difficile parcours de pianiste en herbe, Agnès Forestel nous invite à emprunter le chemin vers nos possibles. Oui, se mettre au piano après 60 ans, est accessible à tous, même quand on n’a aucune connaissance musicale. L’apprentissage du piano est l’activité idéale pour faire fonctionner son cerveau. On l’empêche ainsi de se gripper, et on accroît ses compétences de façon dynamique, tout en offrant une dimension artistique à sa vie. Franchir le pas pour entrer dans la musique à l’âge adulte maintient en forme intellectuellement en créant de nouvelles connections entre les neurones. On améliore la concentration, la rapidité de réaction, la mémoire, la synchronisation et l’habileté des doigts. Nul besoin d’être doué, tous peuvent réussir !
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